Tu te demandes peut-être qui je suis.
Alors il est temps que je me présente !
Je me présente ! Je suis né dans la campagne bretonne
Je suis né et j’ai grandi au centre de la Bretagne.
Mais pas celle des cartes postales, avec ses plages et ses ports pittoresques.
Plutôt la Bretagne profonde, avec ses bourgs, ses champs de blé ou de maïs et ses forêts.

Enfant, je passais mon temps dehors, à explorer la forêt, construire des cabanes, bricoler des arcs en bois, faire du vélo dans la boue…
Mes grands-parents, mes parents et mes voisins ont toujours cultivé un potager, récolté leurs fruits, élevé des poules…
Ils m’ont enseigné le travail manuel, la débrouille et le bon sens paysan.

Tout le hameau se connaissait.
Mon père prête souvent son petit tracteur, la voisine dépose ses pots de miel devant la porte, le voisin cueille nos pommes et nous rends quelques bouteilles de cidre…
Pour se chauffer, on coupe, on fend et on stocke notre bois.
Quand quelque chose est cassé, on le répare.
Une vie simple, mais pleine de bon sens.
Jusqu’à mes 18 ans…
Je suis parti étudier dans une grande ville
Après le lycée, pour mes études, j’ai dû aller « à la ville ».
Le passage des champs aux barres d’immeubles a été un choc.
Mais ce qui m’a le plus marqué, c’est le manque d’autonomie de la plupart des amis que je m’y suis fait.
Ils ne s’en rendent pas compte, mais ils vivent dans une bulle, une cage dorée.
Aucun d’eux n’a jamais bêché un sol, planté un graine ou même récolté un œuf.
Ils ne produisent et ne stockent rien, il y a une supérette en bas de la rue.
Pour chauffer leur appartement, ils tournent un bouton.
Quand quelque chose est cassé, ils jettent et ils remplacent
Une vie déconnectée, vide de sens.
Après mes études j’ai travaillé en Suisse, dans la finance
Malgré le choc initial, je me suis vite habitué au confort de la vie urbaine.
Une fois mes études d’informatique terminées, j’ai rejoint un cabinet de conseil en investissement en Suisse.
J’ai bossé comme un malade pendant de longues années, très loin des 35 heures…
Les efforts ont payé, petit à petit, j’ai monté les échelons et géré des équipes, j’ai fini directeur.
Mais à force, je me suis abîmé la santé, j’étais usé, à bout.
Ce n’était pas “la vraie vie”, du moins, pas la mienne.
Moi aussi, je suis tombé dans le piège
Ça m’a pris quelques années, mais j’ai fini par me rendre compte que j’étais totalement déconnecté de mes racines.
Quand je rentrais en Bretagne voir ma famille, j’avais l’impression de devenir un étranger.
J’étais fatigué après avoir planté seulement 4 ou 5 poteaux, je me cassais le dos en rangeant les bûches, je ne me rappelais plus comment allumer la tronçonneuse…
Moi aussi, je suis tombé dans le piège de la cage dorée.
Mais je me suis réveillé et j’ai décidé de changer de vie.
Je vis maintenant dans une vielle ferme au coeur des montagnes
Si j’ai travaillé comme un malade toutes ces années, ce n’était pas pour rien.
Contrairement à mes anciens collègues, les montres, les voitures ou les restaurants de luxe ne m’ont jamais attiré.
Alors, j’ai réalisé mon rêve et j’ai mis toutes mes économies dans une vieille ferme en pierre des années 1800, perdue dans un village des montagnes suisses.

Petit à petit, je l’aménage pour la rendre la plus autonome possible, en eau, en nourriture et en énergie.
J’ai posé des panneaux solaires, mis en place un système de récupération d’eau de pluie, construit un poulailler, planté des arbres fruitiers, créé un potager….

Mais surtout, je vis dans un de ces rares endroits où l’entraide entre voisins compte bien plus que l’argent.
J’ai retrouvé le plaisir de l’entraide entre voisins et celui de partir de chez moi sans avoir besoin de fermer ma porte à clef.
Pour aider la communauté et m’intégrer, j’ai rejoint les pompiers volontaires.
J’ai retrouvé une vie avec du sens, je suis à ma place.
Mon objectif : apprendre et partager
J’ai eu la chance de naître à la campagne et d’apprendre très tôt beaucoup de choses sur l’autonomie.
Mais quand j’ai commencé à aménager mon terrain, j’étais submergé par les questions.
J’ai dû rassembler le maximum de savoir et en expérimenter moi-même une bonne partie.
C’est de ce désir d’apprendre et de partager tout ce que j’avais appris qu’est né le projet Apprendre Préparer (Sur)vivre.
A l’origine, c’était un simple blog sur lequel je partageais des astuces ou des réflexions sur l’autonomie..
Mais devant les demandes, j’ai sorti un livre, puis une revue, puis une formation vidéo…

Aujourd’hui, le projet APS est une communauté solide de plusieurs milliers de membres.
Comme dans un village, on s’entraide et on avance vers un but commun : regagner notre autonomie.
Antoine est un pseudo
Par nature, je suis quelqu’un de discret, je n’ai jamais aimé me mettre en avant.
J’ai une chaîne YouTube et des comptes sur les réseaux sociaux, mais je ne cherche pas à devenir un “influenceur” ou quelque chose du genre.
La seule chose qui m’intéresse, c’est de partager la connaissance nécessaire pour t’aider à gagner en autonomie et réduire ta dépendance au système
C’est pour cela que j’utilise un pseudo et que tu ne verras pas souvent ma tête.
Ce qui est important c’est le message, pas le messager.
Tu veux en savoir plus sur le projet Apprendre Préparer (Sur)vivre ?
Tu peux regarder du côté de :
- YouTube, pour voir mes vidéos ;
- Facebook ;
- Instagram ;
- Telegram.
Prépare-toi !
Antoine,
Apprendre Préparer (Sur)vivre
Bonjour,
Impossible de faire une demande spécifique dans votre formulaire de contact !
Il semblerait que je n ai toujours pas reçu votre cadeau de bienvenue concernant les catastrophes nucléaires.
Cordialement.